jeudi 24 novembre 2011

POURQUOI ROULER A VELO EN VILLE ?

Vous y avez déjà pensé, et peut-être même avez-vous déjà essayé ? L'association Pro-Vélo aimerait savoir ce qui vous motive et ce qui vous retient de rouler à vélo à Bruxelles.

Vous n’êtes pas cycliste actuellement, mais vous avez déjà pensé effectuer l’un ou l’autre de vos trajets réguliers à vélo ? Prendre le vélo pour aller au boulot, à l’école, au cinéma, ou rendre visite à des amis… Cependant quelque chose vous retient, vous inquiète ou vous semble difficile…

Par cette enquête, l'association souhaite identifier quels sont les principaux obstacles à l’utilisation du vélo en ville, et à Bruxelles en particulier.

Pour y répondre, rendez-vous sur ce lien.

mardi 22 novembre 2011

STIB : DES HORAIRES EN PHASE «TEST»

Depuis ce lundi 21 novembre, des écrans sur les lignes 3 et 4 affichent le temps d'attente des trams. Pour l'instant, le dispositif fonctionne en phase «test».

EMIR KIR NOUS RECOIT


Enfin, ce sont ses collaborateurs qui nous ont reçu ce lundi 21 novembre 2011 dans son cabinet. Nous avions déposé une copie de la pétition pour demander aux responsables de la poste de la rue Sterckx d'aménager un plan incliné pour permettre son accès aux personnes à mobilité réduite (PMR). Alors que la poste n'a même pas (encore) daigné répondre, le cabinet du ministre en charge de l'urbanisme nous a contacté pour proposer d'entendre nos désidérata et nous faire part de l'avancement du dossier - en tout cas des informations dont il dispose.
Nous avons déposé un dossier reprenant divers éléments et avons pu faire part de notre exigence d'être consulté par la poste dans sa réflexion sur un aménagement futur - et que nous espérons rapide !

Notre délégation a ainsi fait des propositions concrètes (outre concernant la passerelle envisagée) quant à l'emplacement de la boîte postale, à l'emplacement du parking vélo et de l'espace réservé aux voitures de handicapés.

Nous avons aussi souligné que le balisage du chantier actuel était non seulement pas conforme aux réglementations mais qu'il était en plus dangereux (le grillage est rouillé et des morceaux de ferraille tranchants sont disposés à hauteur d'homme - pouvant d'ailleurs blesser des passants (notamment les non-voyants) ! Le Codes interpellera la commune à ce propos.

Pour sa part, le cabinet compte interpeller les responsables de la poste par rapport aux nombreux manquements constatés.

dimanche 20 novembre 2011

PROPRETE A SAINT-GILLES : VOILA LES AMBASSADEURS

Beaucoup de saint-gillois se plaignent à juste titre de la saleté dans les rues. Pourtant, la commune fait énormément d'efforts pour remédier à cet état de fait - nous évoquions par exemple l'engagement imminent de huit nouveaux balayeurs de rue.

La commune lance un nouveau projet : les AMBASSADEURS DE LA PROPRETE. L'idée est toute simple : il s'agit pour les habitants intéressés de présenter une initiative concrète qui viserait à améliorer la propreté au quotidien. On peut s'inscrire seul ou avec des voisins. La commune, qui organisera en décembre une réunion afin de présenter les projets sélectionnés, garantit - dans la mesure du possible - une aide logistique et matérielle.
Pour participer, il faut déposer sa candidature avant le lundi 25 novembre 2011 à l'Echevinat de la Propreté.
Attention : il ne faut pas avoir déjà ficelé le projet dans ses moindres détails. Les propositions concrètes doivent parvenir à l'Echevinat de la Propreté pour le lundi 16 janvier 2012. Vous avez donc un peu de temps devant vous.
Vous pouvez lire toutes les infos sur le site de la commune.
Et voici un numéro vert (gratuit, donc) : 0800/97.613.
En cliquant ici, vous pouvez télécharger le bulletin d'inscription (à partir du lundi 21/11). Ou encore en imprimant le document ci-dessous.


Et pour nos amis néerlandophones :

vendredi 18 novembre 2011

Accords institutionnels : propreté et télécommunications

Le 11 octobre dernier, les six partis rassemblés en vue de la formation d'un gouvernement fédéral ont engrangé des accords institutionnels qu'il s'agira de mettre en oeuvre dès 2012, donc. Voici ce que nous en retenons en matière de propreté et de télécommunications.

En matière de propreté publique :

En concertation avec les représentants des travailleurs de l’Agence Bruxelles – Propreté, le balayage des voiries régionales et des sites propres de la STIB sera transféré à l’échelon communal. Ceci n’exclut pas que l’Agence Bruxelles-Propreté reste compétente pour certaines tâches spécifiques ou ponctuelles. L’Agence Bruxelles-Propreté sera le principal opérateur en matière d’encombrants et assurera la gestion des parcs à containers.

En matière de télécommunications :

La compétence en matière de radio- et télédiffusion des Communautés sera adaptée aux évolutions fondamentales de la technologie et à la jurisprudence de la Cour Constitutionnelle, avec maintien d'un cadre réglementaire fédéral pour les communications électroniques: régulation des marchés des télécommunications, gestion et contrôle de l’utilisation du spectre, protection du consommateur, noms de domaine, numérotation, service universel et respect de la vie privée.

Éventuellement via un accord de coopération détaillé.

Cette réforme sera préparée par un groupe de travail composé d’experts.

Urbanisme: Les accords institutionnels

Le 11 octobre 2011, donc, les six partis rassemblés en vue de la formation d'un gouvernement fédéral ont engrangé des accords institutionnels. Voici ce que nous en retenons en matière d'urbanisme et de logement :

Simplification intra bruxelloise en matière de logement :

Le nombre de sociétés de logement social (Sociétés immobilières de service public) sera réduit d’environ 50%, en tenant compte des spécificités communales. Par ailleurs, des économies d’échelle seront réalisées par la mise en œuvre d’une mutualisation de moyens et de services au sein de la SLRB ou entre SISP.

Cette question sera réglée au niveau régional avec l’appui des huit partis participant à l’accord institutionnel.

Simplification intra bruxelloise en matière d'urbanisme.

En matière d’urbanisme, au vu de l’importance des projets et de la nature des travaux, la Région délivrera directement les permis de tous les projets qui nécessitent soit un rapport, soit une étude d’incidence.

Par ailleurs, afin d’accélérer les délais de procédure, les communes pourront directement délivrer les permis d’urbanisme pour les projets où il n’y a ni rapport ni étude d’incidence lorsqu'il y aura un avis unanime favorable de la Commission de concertation et que la réunion s’est déroulée en présence du fonctionnaire délégué.

Une procédure sera mise au point permettant à la Région de se substituer à une commune qui ne traiterait pas dans des délais raisonnables un dossier d’urbanisme.

Cette mise en œuvre sera précédée d’un avertissement à la commune défaillante pour lui permettre de se mettre en ordre.

Cette question sera réglée au niveau régional avec l’appui des huit partis participant à l’accord institutionnel.

Ce qui est prévu en matière de transfert de compétences aux entités fédérées :

1. Le contrôle des prix.

Les entités fédérées seront compétentes pour contrôler les prix dans les matières qui relèvent de leurs compétences (La politique des déchets, la politique de l’eau, la distribution publique de gaz et la distribution et le transport local d’électricité au moyen de réseaux dont la tension nominale est égale ou inférieure à 70.000 volts et qui ne remplissent pas une fonction de transport, les services de taxi et les services de location de voitures avec chauffeur, la location de biens destinés à l'habitation, le bail commercial, et le bail à ferme, les aspects hôteliers de la gestion des maisons de repos et la télédistribution).

Les mesures transversales comme le blocage des prix resteront fédérales.

2. Les baux d’habitation, les baux commerciaux et le bail à ferme : sont transférés aux Régions.

3. Les expropriations : Transfert aux Régions de la procédure d’expropriation, sauf pour les expropriations faites par l’autorité fédérale ou les personnes morales qui dépendent de celle-ci, qui resteront soumises à la procédure fédérale

4. Les comités d’acquisition sont transférés aux Régions.

5. La politique des grandes villes (liée aux compétences des entités fédérées) est transférée aux entités fédérées.

L’autorité fédérale cessera de consacrer des moyens à des projets relevant des compétences des Communautés ou des Régions.

Les dépenses fiscales transférées.

  • Les réductions ou des crédits d’impôts afférents à la maison d’habitation réduction et crédits d’impôt pour les dépenses de sécurisation contre le vol ou l’incendie d’une habitation ;
  • Les réductions ou crédits d’impôts relativement aux dépenses faites pour l’entretien et la restauration de propriétés classées ;
  • Les dépenses fiscales titres services, dépenses fiscales économie d'énergie;
  • Les réductions d’impôt - Politique des grandes villes (rénovation d’habitations);
  • Les réductions d'impôts - Rénovation habitations à loyer social.

Remarque :

En ce qui concerne les réductions d’impôts et autres avantages (exemple, la bonification d’intérêt en matière de prêt vert) pour les dépenses faites en vue d’économiser l’énergie dans une habitation, ainsi qu’en matière de réductions sur facture pour véhicules propres, les Régions disposent déjà actuellement des compétences pour mettre en œuvre leurs politiques ; un transfert de compétence n’est donc pas nécessaire.

En vue d’éviter les interférences du pouvoir fédéral sur des matières relevant de la compétence des Régions, le pouvoir fédéral pourra cependant mettre fin dès le budget 2012 aux incitants existant actuellement à son niveau en la matière, sans préjudice de ce qui est précisé dans le point 4.4 de l'accord.

Les membres du Comité peuvent télécharger l'accord sur notre site.

(RE)ASPHALTAGE DES RUES

Les saint-gillois n'ont pas pu rater ça : de nombreuses rues de la commune bénéficient d’un réasphaltage complet. Ce sont 275 000 € qui seront consacrés aux chantiers de cette fin d’année 2011. La commune estime que ces réalisations permettront un plus grand confort pour les usagers et une moindre pollution sonore pour les habitants. Les premiers chantiers ont débuté le 17 octobre dernier. Pour rappel :
Du 17 au 28 octobre : ce sont les rues Tasson Snel, de Neufchâtel et Saint-Bernard qui ont commencé.
Ensuite du 24 au 28 octobre, ce fut le tour des rues suivantes : la Rue Crickx (entre rue G. Defnet et rue Monténégro), la Rue de la Filature et la Rue de la Linière.

En 2012, le réasphaltage des rues suivantes sera réalisé :
Rue Defnet,
Rue Verheggen,
Carrefour Lombardie Breart,
Rue Jourdan (tronçon Dejoncker-Victoire),
Rue de l’église (tronçon Vieillard-Chaussée de Forest),

Rue de la Perche (tronçon Parc-Fort),
Rue Dethy (tronçon Fort-Prague),
Carrefour Waterloo-Dethy-Coenen [lors de la CLDI d'hier on disait même que cela pourrait déjà se faire en décembre].

LA VIDEO DE L'ACTION "POSTE"


Un vidéaste proche de la mouvance (brrrrrrrrr) du CODES a réalisé une vidéo lors de notre remise de la pétition demandant à la Poste une rampe d'accès pour les PMR. C'était le 29 octobre dernier et vous pouvez la visionner ici. Merci à Xavier pour ce «souvenir».

LA COMMUNE RENFORCE LA PROPRETE

Une nouvelle équipe de 8 travailleurs va être engagée sous peu (avant la fin de l'année) pour renforcer les balayeurs de rue. Dans le cadre du contrat de quartier Parc-Alsemberg, la commune a en effet annoncé qu'elle procédait à ce recrutement pour améliorer l'état des rues régulièrement souillées par incivilité. C'est un projet d'insertion Socio-Professionnelle que nous ne pouvons qu'applaudir des deux mains.
A noter aussi qu'en parallèle, une sensibilisation de tous (en particulier les enfants) est prévue. Et il y aura aussi une accélération des sanctions pour les incivilités.

ABORDS DE L'EGLISE SAINT-GILLES : TRAVAUX A L'ARRET

Photo prise coin de la rue des Vieillards et de la rue Jean Volders par C.V.

Depuis de longues semaines, des travaux ont lieu autour de l'église Saint-Gilles. Il s'agit surtout d'aménager l'espace public et de remplacer les égouts. Ce chantier était nécessaire ... si on y travaille réellement. Or de nombreux riverains se plaignent de l'interruption de travaux depuis plusieurs semaines. Je vous livre telle quelle la réaction d'un riverain :

Vous m’aviez demandé de vous informer à propos de ce chantier. Malheureusement il n’y a actuellement rien à signaler. Le chantier est désert.
Cela fait 3 semaines que le chantier est à l’arrêt dans toute la partie derrière l’église.>

Photo prise par C.V. le 3 octobre 2011 (coin rue
des Vieillards et rue de l'église Saint-Gilles ).

Si l’on en croit les panneaux d’interdiction de stationner jusqu’au 4 novembre, les 10 places de parking et la rue des Vieillards auraient déjà dû être terminés.
Depuis 3 semaines il n’y a que 2 hommes qui marteau-piquent avec un engin portable de 10 kg dans le trou tram. Aujourd’hui il n’y a même plus personne.
Tous les riverains râlent, en particulier les commerçants et les vieilles personnes.
Y a-t-il une date prévue pour la fin de ce chantier? Ce serait sympa d’informer les riverains.

Ce matin, en effet, nous avons été sur place et ... personnes. Pas même les hommes au marteau piqueur ! Ce sera quoi l'excuse cette fois ? Qu'on ne vienne pas dire dans une semaine que les travaux vont devoir s'arrêter à cause du gel ! Et ces dernières semaines, il a fait radieux !

Nous avons contacté la commune pour recevoir des explications : la responsable était sur le terrain. Histoire à suivre.
[Merci à C.V. pour les photos]

jeudi 17 novembre 2011

A SUIVRE

Demain en ligne :
Les accords institutionnels en matière de logement et urbanisme
et en matière d'environnement.

Mobilité : Les accords institutionnels

Le 11 octobre dernier, les partis rassemblés en vue de la formation d'un gouvernement ont engrangé des accords institutionnels. Voici ce que nous en retenons en matière de mobilité :

Simplification intra bruxelloise en matière de mobilité.

Après concertation avec les communes, la Région élaborera un plan régional de mobilité traduit dans une ordonnance-cadre. Ce plan qui s’imposera à tous sera mis œuvre sans qu’il ne puisse y être dérogé.

Les communes élaborent leurs plans de mobilité en concertation avec la Région. Un fonctionnaire de la Région participe à l’élaboration du plan. La Région, dès qu’elle est saisie du projet communal, l’approuve ou le rejette si celui-ci n’est pas conforme au plan régional de mobilité.

L’éventuelle désapprobation est motivée. La commune rédige un nouveau plan de mobilité qui s’inscrit dans le cadre du plan régional de mobilité. Si la commune est inerte, la Région la met en demeure de présenter un nouveau plan communal de mobilité. Après six mois de carence, la Région actionnera la procédure de substitution.

Les aménagements des voiries prévus dans le plan régional de mobilité ainsi que dans les plans communaux de mobilité devront être respectés par la Région et par la commune. En ce qui concerne les communes, l’autorité de tutelle veillera à l’application de cette règle. Les travaux subsidiés seront attribués en tenant compte du plan régional de mobilité et des plans communaux de mobilité.

Le transfert de compétences aux entités fédérées

Homogénéisation de la politique en matière d’aide aux personnes handicapées. Les aides à la mobilité seront transférées aux entités fédérées. L’allocation d’aide aux personnes âgées sera communautarisée (à Bruxelles, elle sera transférée à la Cocom).

En matière de mobilité et de sécurité routière

Le Code de la route reste de compétence fédérale, à l’exception du transfert aux Régions :

de la détermination des limites de vitesse sur la voie publique, sauf sur les autoroutes ;
de la réglementation en matière de placement de la signalisation routière (conformément au 1er paquet) ;
de la réglementation en matière de sûreté de chargement et de masse maximale autorisée et des masses entre les essieux des véhicules sur la voie publique ;
de la réglementation relative au transport dangereux et exceptionnel (selon des modalités à déterminer afin d’assurer la coordination des procédures entre Régions) ;
du contrôle des règles du Code de la route qui sont régionalisées en ce compris la fixation des sanctions administratives et pénales. La fixation de ces sanctions ne porte pas atteinte aux prérogatives de la police, du parquet, et des Cours et Tribunaux. Des fonctionnaires régionaux pourront être habilités à contrôler l’application des règles régionales (cf. art. 11 de la loi spéciale du 8 août 1980).

La tutelle des Régions sur les règlements complémentaires en matière de sécurité routière est confirmée.

La prise en compte de l’avis des Régions sera renforcée en ce qui concerne les modifications au Code de la route. Si une des Régions rend un avis défavorable sur les propositions fédérales, une concertation sera organisée entre le fédéral et les Régions via la Conférence Interministérielle. A défaut d’accord, la décision finale revient au Gouvernement fédéral.

Par ailleurs, les Régions pourront proposer d’initiative des modifications au Code de la route. Si ces propositions font consensus, après concertation entre les Régions et le fédéral, elles seront adoptées et incluses dans le Code de la route.

Actualisation de l’accord de coopération du 17 juin 1991, concernant les routes dépassant les limites d’une Région, qui sera notamment élargi à d’autres aspects de la mobilité interrégionale et en particulier en matière de sécurité routière.

- Transfert aux Régions du Fonds de sécurité routière. Les moyens afférents aux compétences qui demeureront du ressort de l’autorité fédérale resteront au niveau fédéral. Les autres moyens seront transférés aux Régions.

- Transfert des compétences de l’IBSR aux Régions. Un accord de coopération entre les Régions, auquel sera associée l’autorité fédérale, permettra d’organiser, le long des autoroutes, des actions nationales de sensibilisation destinées au grand public.

- Transfert aux Régions de la fixation des normes de l’infrastructure routière et du contrôle des normes techniques des véhicules.

- Transfert aux Régions du contrôle technique des véhicules, de l’homologation des radars et autres instruments liés aux compétences régionales. Le niveau fédéral restera compétent pour les normes de produit et l’immatriculation des véhicules. Il est entendu que chaque citoyen peut procéder au contrôle technique de son véhicule dans un centre de contrôle de la Région de son choix quel que soit son lieu de domicile.

- Régionalisation de la formation à la conduite, des autoécoles et des centres d’examen (le permis de conduire restera fédéral).

Il est entendu :

qu’une auto-école qui est reconnue dans une Région peut également opérer dans les autres Régions ;
que la régionalisation de la formation à la conduite ne porte pas préjudice aux initiatives visant à enseigner le permis de conduire dans les écoles ;
que chaque citoyen peut suivre la formation à la conduite dans une auto-école de la Région de son choix, quel que soit le lieu de son domicile ;

que chaque citoyen peut passer l’examen dans un centre d’examen de la Région de son choix, quel que soit le lieu de son domicile.

- Transfert aux Régions de la réglementation et du contrôle de la navigation intérieure, y compris le pouvoir de police (article 11 de la loi spéciale du 8 août 1980).

- Représentants des Régions dans les CA des entités du groupe SNCB

- Après que le fédéral ait adopté un plan d’investissement pluriannuel doté de financements suffisants et respectant la clé 60/40, les Régions pourront apporter un financement additionnel pour l’aménagement, l’adaptation ou la modernisation des lignes de chemin de fer.
Ce financement additionnel des Régions devra respecter une proportionnalité par rapport au financement fédéral. Cette proportionnalité sera fixée par un accord de coopération obligatoire entre le fédéral et la ou les Régions concernées ; lequel conditionnera donc le financement additionnel régional.

- Au sein de la SNCB sera créée une structure dans laquelle les trois Régions et le fédéral seront représentés pour gérer ensemble l’exploitation du Réseau Express Régional (RER) de la SNCB.

Mobilité interrégionale autour de Bruxelles : Au sein de la communauté métropolitaine créée par la loi spéciale se tiendra la concertation entre les trois Régions relative à la mobilité, à la sécurité routière et les travaux routiers, de, vers et autour de Bruxelles. Le fait de fermer ou de rendre inutilisables les accès et sorties du ring fera l’objet d’une concertation préalable.

En matière de stationnement :

La politique régionale de stationnement dont les grands principes ont déjà été fixés par une ordonnance sera poursuivie.

Transfert des compétences dans d’autres domaines : Mobilité et sécurité routière

Le Code de la route reste de compétence fédérale, à l’exception du transfert aux Régions :

de la détermination des limites de vitesse sur la voie publique, sauf sur les autoroutes ;
de la réglementation en matière de placement de la signalisation routière (conformément au 1er paquet) ;
de la réglementation en matière de sûreté de chargement et de masse maximale autorisée et des masses entre les essieux des véhicules sur la voie publique ;

de la réglementation relative au transport dangereux et exceptionnel (selon des modalités à déterminer afin d’assurer la coordination des procédures entre Régions) ;
du contrôle des règles du Code de la route qui sont régionalisées en ce compris la fixation des sanctions administratives et pénales. La fixation de ces sanctions ne porte pas atteinte aux prérogatives de la police, du parquet, et des Cours et Tribunaux. Des fonctionnaires régionaux pourront être habilités à contrôler l’application des règles régionales (cf. art. 11 de la loi spéciale du 8 août 1980).

La tutelle des Régions sur les règlements complémentaires en matière de sécurité routière est confirmée.

La prise en compte de l’avis des Régions sera renforcée en ce qui concerne les modifications au Code de la route. Si une des Régions rend un avis défavorable sur les propositions fédérales, une concertation sera organisée entre le fédéral et les Régions via la

Conférence Interministérielle. A défaut d’accord, la décision finale revient au Gouvernement fédéral.

Par ailleurs, les Régions pourront proposer d’initiative des modifications au Code de la route. Si ces propositions font consensus, après concertation entre les Régions et le fédéral, elles seront adoptées et incluses dans le Code de la route.

- Actualisation de l’accord de coopération du 17 juin 1991, concernant les routes dépassant les limites d’une Région, qui sera notamment élargi à d’autres aspects de la mobilité interrégionale et en particulier en matière de sécurité routière.

- Transfert aux Régions du Fonds de sécurité routière. Les moyens afférents aux compétences qui demeureront du ressort de l’autorité fédérale resteront au niveau fédéral. Les autres moyens seront transférés aux Régions.

- Transfert des compétences de l’IBSR aux Régions. Un accord de coopération entre les Régions, auquel sera associée l’autorité fédérale, permettra d’organiser, le long des autoroutes, des actions nationales de sensibilisation destinées au grand public.

- Transfert aux Régions de la fixation des normes de l’infrastructure routière et du contrôle des normes techniques des véhicules.

- Transfert aux Régions du contrôle technique des véhicules, de l’homologation des radars et autres instruments liés aux compétences régionales. Le niveau fédéral restera compétent pour les normes de produit et l’immatriculation des véhicules. Il est entendu que chaque citoyen peut procéder au contrôle technique de son véhicule dans un centre de contrôle de la Région de son choix quel que soit son lieu de domicile.

- Régionalisation de la formation à la conduite, des autoécoles et des centres d’examen (le permis de conduire restera fédéral). Il est entendu :

qu’une auto-école qui est reconnue dans une Région peut également opérer dans les autres Régions ;
que la régionalisation de la formation à la conduite ne porte pas préjudice aux initiatives visant à enseigner le permis de conduire dans les écoles ;
que chaque citoyen peut suivre la formation à la conduite dans une auto-école de la Région de son choix, quel que soit le lieu de son domicile ;
que chaque citoyen peut passer l’examen dans un centre d’examen de la Région de son choix, quel que soit le lieu de son domicile.

- Transfert aux Régions de la réglementation et du contrôle de la navigation intérieure, y compris le pouvoir de police (article 11 de la loi spéciale du 8 août 1980).

- Représentants des Régions dans les CA des entités du groupe SNCB.

- Après que le fédéral ait adopté un plan d’investissement pluriannuel doté de financements suffisants et respectant la clé 60/40, les Régions pourront apporter un financement additionnel pour l’aménagement, l’adaptation ou la modernisation des lignes de chemin de fer. Ce financement additionnel des Régions devra respecter une proportionnalité par rapport au financement fédéral. Cette proportionnalité sera fixée par un accord de coopération obligatoire entre le fédéral et la ou les Régions concernées ; lequel conditionnera donc le financement additionnel régional.

- Au sein de la SNCB sera créée une structure dans laquelle les trois Régions et le fédéral seront représentés pour gérer ensemble l’exploitation du Réseau Express Régional (RER) de la SNCB.

Mobilité interrégionale autour de Bruxelles : Au sein de la communauté métropolitaine créée par la loi spéciale se tiendra la concertation entre les trois Régions relative à la mobilité, à la sécurité routière et les travaux routiers, de, vers et autour de Bruxelles. Le fait de fermer ou de rendre inutilisables les accès et sorties du ring fera l’objet d’une concertation préalable.

Dans le chapitre "Juste financement des institutions bruxelloises", un article budgétaire mentionne la correction « navetteurs » se base sur un mécanisme horizontal.

La Région de Bruxelles-Capitale recevra un financement qui compensera progressivement, d'ici 2015, une partie de l'impôt régional moyen (y compris les nouvelles dotations régionales) du flux net des navetteurs et ce, afin d'atteindre un montant de 44 millions en 2015.

Ce montant sera financé par les deux autres Régions selon une clé de répartition équivalente à celles des navetteurs. A partir de 2016, ce financement est maintenu nominalement constant.

lundi 7 novembre 2011

PRIMES ET HABITAT DURABLE

ARTICLE EN CONSTRUCTION

LA STIB OSE UN SONDAGE

La STIB a mis en ligne sur son site un sondage d'opinion. Très courageux de sa part de questionner les voyageurs. Pour inviter à y répondre, ellehttp://www.blogger.com/img/blank.gif précise que la démarche vise "à donner son avis et contribuer à améliorer les services de la STIB".


Pour participer à cette enquête, il vous suffit de cliquer ici. Cette enquête devrait ne vous prendre que 10 minutes environ.

Pour notre part, on doute fort que le degré de satisfaction des usagers des transports en commun soit vraiment de nature à donner le sourire à l'institution, tant le service est souvent d'une médiocrité affligeante (horaires, prix, confort, sécurité,...).

Voyons cela lors de la publication des résultats.

PETITION «POSTE» : LES COMMENTAIRES

Voici l'intégralité des réactions issues des commentaires sur www.lapetition.be qui invitait le public à pousser BPost à trouver une solution à l'impossibilité d'accès des PMR. Nous les livrons telles quelles (en ayant quand même corrigé les fautes de frappe) :

Il est inadmissible que la personne handicapée, quel que soit son handicap, n'ait pas l'infrastructure adéquate pour accéder à des bâtiments publics !
C'est discriminatoire de ne pas tenir compte des personnes à mobilité réduite ! C'est honteux pour un service comme BPost ! Il est indispensable et urgent de régler ce problème d'accessibilité !
Trop de services publics sont encore et toujours de nos jours inaccessibles aux personnes handicapées. Ce sont pourtant nos édiles communaux qui devraient y penser à chaque délivrance d'un permis de bâtir !
(BPost est dans l') obligation d'avoir une poste PMR admis.
Pour des services publics accessibles à tous!
C'est tellement évident à mes yeux, que la question ne se pose même pas.
Non seulement BPost ferme des bureaux mais en plus elle ne permet pas à chaque individu d'accéder aux bureaux rescapés. Pauvre Service public !
Entièrement d'accord (avec les revendications de la pétition).
"Si tu vas à la Poste, je t'apprendrai la patience..." comme dit Grand Corps Malade. Encore faut-il que tout le monde puisse y accéder.
Il faudrait également prévoir des emplacements de stationnement pour vélo. Un service de proximité doit être accessible en mode doux pour éviter les déplacement en voiture de courte distance.
Bravo à la pétition !

Merci pour ces encouragements. Nous publierons prochainement la suite de cette affaire.

Lorsque le bureau de la Chaussée de Charleroi a fermé, les locaux ont accueilli un magasin «Chrono Stop» jusqu'en août dernier.