jeudi 18 mars 2010

35 ANS SUR LE TERRAIN













Un dernier rappel : C'est ce samedi qu'aura lieu la soirée festive du Comité de Défense de Saint-Gilles au Pianofabriek (35 rue du Fort).

Au programme : la présentation du court-métrage «35 ans sur le terrain» (20 minutes), du n°64 de Saint-Gilles Midi (un numéro spécial qui évoque la ligne du temps de nos actions) et un diaporama en continu de nos archives photo.
Tout cela dans une ambiance conviviale.

Ce sera aussi l'occasion d'épelucher une compilation des rapports d'activités depuis 1978, de l'intégralité de nos article publiés sur le blog depuis 2005 et des numéros de Saint-Gilles Midi depuis le début.
Autant dire qu'il y aura de quoi découvrir et d'en remémorer les épisodes les plus croustillants : soyez-en sûrs, il y en a ...

A samedi donc.

Petite remarque en passant : l'idéal serait d'annoncer votre intention de passer car, si l'entrée est gratuite, nous devons prévoir le nombre de présents - question de présenter un buffet en suffisance. Pour cela, rien de plus simple : appelez-nous au 02/539.22.83 ou au 0497/64.17.07.

samedi 13 mars 2010

LE BLOG "stibdemerde.be" FERME


Le Comité manifeste régulièrement sa colère sur la manière dont fonctionnent les transports en commun à Saint-Gilles (et à Bruxelles en général). Et les projets de la STIB ne sont pas pour nous rassurer ...

Nous ne sommes pas les seuls à être mécontents. Des bruxellois ont voulu le clamer haut et fort en ouvrant un blog, stibdemerde.be. La STIB a exigé sa fermeture et a obtenu gain de cause.


La Stib a exigé la fermeture de stibdemerde.be, un site défouloir pour usagers des transports en commun bruxellois mécontents. Les responsables du site se sont exécutés.

« Fermeture définitive du site ». C’est le seul message posté depuis mardi après-midi sur la page d’accueil de www.stibdemerde.be. À l’origine du site, Philippe Magry explique : « Jamais nous n’avons conçu le site comme une insulte à la Stib. On est parti de notre expérience personnelle ». Lui et son associé, Michael Lucuy, sont Français, usagers réguliers de la Stib et développeurs web… en passe de créer leur société. Ils tentent le buzz. « On s’est inspiré de viedemerde.fr », précise Philippe Magry. Principe : une homepage où s’empilent des anecdotes et coups de gueules d’internautes. Les usagers mécontents de la Stib (si, si, ça existe) peuvent y aller. Retards, organisation du réseau, mauvais accueil du personnel de la Stib… Après un mois, le site voit passer 200 visiteurs par jour, leur groupe Facebook compte 700 membres. Le site commence à faire parler de lui sur plusieurs sites d’infos. La Stib en prend connaissance. Et goûte peu à l’appellation du site. Un huissier constate les faits et un courrier d’avocats est envoyé aux créateurs du site dans la foulée. Ils sont mis en demeure de fermer viedemerde.be, le groupe Facebook et le fil Twitter. Ils s’exécutent immédiatement.

« Il y avait un manque »

« Ce qui nous gênait ce n’est pas l’avis des voyageurs – loin de nous l’idée de juguler une quelconque liberté d’opinion – mais le nom du site. N’importe quelle société ne peut accepter de voir son nom accolé à ’de merde’. Ils allaient même jusqu’à proposer des t-shirts ’Stib de merde’ », explique Jean-Pierre Alvin, porte-parole de la Stib. « Et puis il n’y avait rien de constructif sur ce site, pas de proposition, rien… »

« Je comprends la position de la Stib. Mais si on l’a fait, c’est qu’il y avait un manque dans la communication entre la Stib et les usagers », rétorque Philippe Magry. Un constat que ne partage pas Jean-Pierre Alvin : « Notre service relations clientèles répond à toutes les remarques. Des associations d’usagers participent chaque mois à un comité consultatif où le comité de gestion de la Stib est présent ». Mais quid de la communication via le web, sur Twitter, un blog, un « stibtime.be » comme il existe un « railtime.be » ? La Stib ne peut-elle pas faire un effort sur l’utilisation des nouvelles technologies pour communiquer plus rapidement avec ses usagers ? « Nous n’avons pas les moyens d’offrir un tel service qui demande beaucoup de personnel », explique Jean-Pierre Alvin. Philippe Magry, qui ne perd pas le nord, propose ses services : « Si on refait quelque chose, on le refera en partenariat avec la Stib. Notre site peut leur servir, moyennant changement de logo et d’url… » Amusé, Jean-Pierre Alvin décline : « On n’est pas parti sur de bonnes bases. Si jamais on devait lancer un tel développement, on trouverait d’autres partenaires ! »

Philippe Magry et son associé auront à payer les frais d’huissier et d’avocat. « On ne veut pas utiliser un canon contre une mouche, mais nous nous réservons le droit d’évaluer dans les prochains jours si l’image de la Stib a été altérée pour éventuellement prendre d’autres mesures. » Et certains de penser : vie de merde !

vendredi 12 mars 2010

BIENTOT LE PROCHAIN SAINT-GILLES MIDI


Le Comité publie depuis de nombreuses années un périodique, le SAINT-GILLES MIDI. Le 20 mars prochain paraîtra le n°64. Ce numéro spécial proposera une ligne du temps commentée de différents combats que le comité, avec les habitants, a menés à Saint-Gilles depuis 1973.
En réalité, certains numéros sont publiés sous la forme d'un "mini SAINT-GILLES MIDI" lorsqu'ils concernent un quartier ou une problématique locale spécifique.
Sur simple demande, nous pouvons vous faire parvenir gratuitement (à Saint-Gilles) n'importe quel numéro. Il suffit pour cela de nous le demander.
A noter qu'à l'occasion de notre fête d'anniversaire le 20 mars, nous présentrerons une compilation de l'ensemble des publications.

PLACE MARIE JANSON : UNE AUTRE TRACE DE L'ANCIEN HOTEL DES MONNAIES


Juste pour ceux d'entre nous/vous qui l'auraient oublié : un autre vestige existe (outre les probables caves et ateliers situés sous la place elle-même) sur le coin de la rue Jourdan et de la rue de la Victoire. Une petite bâtisse d'angle qui, aujourd'hui, semble abriter des installations de Sibelga. Mais qui permet aussi d'entreposer de nombreux panneaux de signalisation ou des barrières. Et qui laisse libre cours à l'imagination fertile des taggers en herbe et aux colleurs d'affiches. Et on assiste (si ! si !) au grand retour de la craie blanche. Est-ce là tout le cas fait pour la préservation d'un patrimoine qui témoigne du riche passé de la commune ?
On aura beau, dans quelques dizaines d'années, verser une larme sur ce qui existait encore en 2010 ... et s'étonner que, après l'avoir laissé pourrir en catimini depuis les années 80, on aura démoli ce fragment de mémoire du passé industriel du fait de sa vétusté.
Une brique n'est pas qu'une brique : elle est aussi ce qu'elle représente !

jeudi 11 mars 2010

PLACE MARIE JANSON : LE PAVILLON D'ENTREE DE L'ANCIEN HOTEL DES MONNAIES


En marge du projet d'aménagement de la place Marie Janson, voici un bref descriptif de l'une des dernières traces du colossal ensemble de bâtiments qui s'y dressaient jusqu'en 1979.

Ne subsiste donc pratiquement plus qu’un petit édifice sur l’ancien emplacement de l'Hôtel des Monnaies (autrefois implanté aux numéros 91 à 105). Le bâtiment est l’œuvre de l’architecte A. Roussel 1, inauguré en 1880 et situé autrefois dans l'îlot formé par les rues de l'Hôtel des Monnaies, de Moscou, de la Victoire et Jourdan. Faisant l'angle avec la rue de Moscou, il s’agit d’un petit bâtiment de style éclectique.

Le bâtiment est l'ancien pavillon d'entrée de la construction de l'époque dont il constitue malheureusement l'un des seuls vestiges. Son élévation plastique, d'un niveau en pierre bleue et en briques est partiellement sous une toiture à croupes. Des baies grillagées à arcs rectangulaire ou en plein ceintre l'entourent. Il comprend aussi des bossages "un sur deux".

Le style éclectique est un courant architectural original (de 1850 à 1914 environ) qui puise librement son cachet dans plusieurs styles d'inspiration néo-baroque.

Le style néo-baroque se réfère évidemment à l'art baroque (XVIIème et 1er quart du XVIIIème) et en reprend certains éléments décoratifs. Dont notamment le pignon à volutes et les pilastres colossaux, le toit en pavillon. Le décor est emprunt d'une certaine vigueur et d'un fort relief (le bossage, les harpes, l'encadrement en saillies, ...).

Vous pouvez retrouver des explications sur tous ces termes techniques sur le site de la Région de Bruxelles-Capitale et en particulier dans la rubrique "inventaire du patrimoine architectural". L'inventaire de Saint-Gilles est consultable en ligne ici.

1 Il s’agit probablement d’Alphonse Roussel, qui fut par ailleurs doyen de la faculté de Droit de l’ULB à trois reprises au XIXème siècle.

mercredi 10 mars 2010

RAMASSAGE DES POUBELLES : BRUXELLES PROPRETE A L'AMENDE


Depuis le 1er janvier 2010, les déchets doivent obligatoirement être triés. Fini donc de jeter des berlingots, des boîtes de conserve ou du papier dans les poubelles blanches. Le but est de contribuer ainsi à diminuer la part des déchets recyclables dans les poubelles non triées. Actuellement, cette part s'élève encore à 20% en moyenne.

En 2009, une mesure concernant le verre avait déjà été prise : l'interdiction de jeter du verre dans les poubelles blanches. Les bruxellois doivent les déposer dans les bulles à verre.

A Saint-Gilles, d'ailleurs, l'Agence Bruxelles Propreté a demandé l'autorisation de placer des bulles à verres enterrées le long des voiries de la commune. On n'a par ailleurs rien vu venir.

Selon des statistiques régionales, 80% des bruxellois trient correctement leurs déchets. L'obligation de trier est assortie dans un premier temps d'une campagne de sensibilisation puis d'une phase répressive.

Des contrôleurs vérifieront les sacs. En cas de non respect de l'obligation de trier, des amendes pourront frapper le contrevenant. Elles s'échelonneront de 62,5 € à 625 € selon la quantité, le contenu et la récidive éventuelle. En terme d'incitant, les sacs jaunes et bleus ont diminué de 0,10 €. Ne pas trier est donc dorénavant "criminalisé".

Ceci étant - tout en saluant l'impulsion qui vise essentiellement à recycler le plus possible ce qui peut l'être - le tri ne sera peut-être pas la priorité de ceux d'entre nous qui connaissent des difficultés pour boucler leurs fins de mois. De plus, trier demande assez bien de place. Difficile parfois de trouver dans sa cuisine où entreposer quatre ou cinq poubelles : papier, plastique, déchets non triés, piles, verre, produits toxiques,... Nous devrons tous contribuer à cet effort de recyclage.

Le Comité s'étonne par contre de constater que ces dernières semaines, les camions-poubelle ne passent parfois tout simplement pas dans la commune. Ainsi les collectes du jeudi 4 mars et celle du lundi 8 mars 2010 n'ont toujours pas eu lieu dans le quartier de la place de Bethléem. Qu'a donc prévu notre Ministre comme sanction à l'encontre de l'Agence Bruxelles Propreté lorsqu'elle ne respecte pas sa mission financée par nos impôts ?

Faisons un rapide calcul amusant : imaginons seulement 1.000 adresses négligées à 62,5 € d'amende par sac - soit l'amende minimale si le citoyen lambda sort sa poubelle un mauvais jour. Et imaginons même un seul sac par maison. Le montant de l'amende serait de 62.500 € par jour. Dans notre expérience de cette semaine, et ne considérant qu'un seul fait de délinquance de l'Agence Bruxelles Propreté par période de collecte, l'amende monterait à ce jour à 13.000 €.

Les sacs seront-ils ramassés ce jeudi 11 mars ? Le suspense est insoutenable !

Note.
Un dépêche de "La Tribune de de Bruxelles" évoquait les sacs blancs non collectés le 9 mars dernier :
"Ordures ménagères sur le trottoir, hier. Fâcheries et grève de 150 ouvriers de l'Agence régionale PROPRETÉ Humeur maussade, hier dès potron-minet, sur le boulevard du Triomphe, à Auderghem ! Environ 150 personnes dévolues au ramassage d'ordures ménagères ..."

mardi 9 mars 2010

Débat "Aménagement de la place Marie Janson"




Deux photos avant l'article de ce midi.
En haut (et de droite à gauche) :
Isabelle Pauthier (ARAU),
Alain Maron (Ecolo),
Cathy Marcus (LB),
Patrick Debouverie (MR),
Mathieu Sonck (Inter-Environnement Bruxelles)
et Raphaël Vanden Bosch (Comité de Défense de Saint-Gilles).
En dessous : Une assemblée attentive. Plus de soixante personnes sont venues écouter les propos des uns et des autres. Nombreux sont ceux qui ont réagi pendant ... et après le débat.

lundi 8 mars 2010

C'EST CE SOIR




La grande soirée débat sur le futur de la place Marie Janson a lieu ce soir au Centre culturel et communautaire Pianobabriek (voir article ci-dessous) qui nous accueille en ses locaux.

Nous ont confirmé leur présence :

Cathy Marcus (Echevine PS de l'urbanisme à Saint-Gilles),
Alain Maron (Conseiller communal Ecolo à Saint-Gilles),
un représentant du CdH de Saint-Gilles (sous réserve : Vincent Henderick, Conseiller communal à Saint-Gilles),
un représentant du MR de Saint-Gilles (sous réserve : Patrick Debouverie, Echevin du Développement économique à Saint-Gilles),
un représentant d'Interparking,
Mathieu Sonk d'Inter-Environnement Bruxelles ,
et Isabelle Pauthier de l'ARAU, l'Atelier de Recherche et d'Action Urbaines.

Le débat sera animé et modéré par Antoine Goudaillier,
Président du Comité de Défense de Saint-Gilles.

Un compte-rendu de la soirée sera en ligne ce mercredi 10 mars 2010 à midi. Avec, peut-être, des images (en principe, la soirée sera filmée).

dimanche 7 mars 2010

9 mars 2010 SOIREE-DEBAT : PLACE MARIE JANSON

La commune l'a annoncé : la place Marie Janson (probablement mieux connue par les riverains sous l'appellation de "carré de Moscou" ou même "carré Hôtel des Monnaies") va subir un profond lifting. Ce n'est certes pas pour demain. Actuellement, la commune étudie un scénario qui compte en gros deux volets :
1. la construction d'un parking souterrain de 200 places;
2. l'aménagement de la place proprement dite.

Le Comité de Défense de Saint-Gilles est régulièrement interpellé par des habitants et des commerçants qui veulent en savoir plus. Questionnant régulièrement le service urbanisme de la commune, nous ne sommes malgré tout pas en mesure de connaître la direction que prendra concrètement ce dossier.

Ce qui est sûr, c'est que les choses avancent.

Aussi, nous avons, avec le soutien de plusieurs comités d'habitants1 et du Pianofabriek, invité les différents groupes politiques saint-gillois à débattre de la question avec les riverains (et les nombreux commerçants de la place, du Parvis et des rues avoisinantes) sur le thème de :

"Aménagement de la place Marie-Janson
et parking souterrain :

Que voulons-nous ?".

Nous avons aussi invité Interparking qui devrait présenter son avis sur la faisabilité du parking souterrain,
l'ARAU sur sa vision de la ville,
et Inter Environnement Bruxelles.

La soirée-débat a lieu
le mardi 9 mars 2010 à 19.30
au Pianofabriek
35 rue du Fort à 1060 Bruxelles

L'entrée est gratuite

1 Altitude 81, BaOBab 81 et le Comité Dethy

samedi 6 mars 2010

WELCOME




Le Comité de défense de Saint-Gilles est une association créée en 1973. Elle s'est constituée en asbl l'année suivante.

L'objet de l'association est précisé dans l'article 4 des statuts coordonnés :

L’association a pour objet la défense et la promotion des intérêts des habitants de Saint-Gilles et de ses quartiers - entendus au sens urbain et social du terme.
L’objet de l’association ainsi défini comprend notamment :
1. l’aménagement du territoire et l’urbanisme,
2. les problèmes relatifs aux habitants et à l’habitat,
3. les problèmes relatifs à l’environnement.
L’association agit avec la préoccupation essentielle d’assurer aux habitants une plus grande participation aux prises de décisions dans les domaines culturels, sociaux et politiques.

L'association vise ainsi également :

1. à établir des sentiments de compréhension et de respect mutuels entre les membres de la population belge de Saint-Gilles et les personnes d’origine étrangère habitant ou venant s’établir dans la commune;
2. à promouvoir la vie culturelle, éducative et sociale des habitants de Saint-Gilles, sans distinction de sexe, de nationalité, d’opinions politiques, philosophiques ou religieuses;
3. à obtenir la collaboration active de la population saint-gilloise en vue de réaliser ses missions.

L’association agit d’initiative ou sur consultation dans les matières qui relèvent de son objet. Elle peut apporter une aide tant pratique que théorique aux organismes, associations, collectivités, ou autres groupements tant publics que privés qui exercent des activités dans le champ d’activité de l’association.

L’association peut notamment participer ou adhérer à ces entités et s’intéresser à toute activité similaire à son objet. Les moyens de mener à bien ses missions sont décrits dans le règlement d’ordre intérieur.

Depuis octobre 2005, nous avons alimenté un blog hébergé par Skyrock. Nous avons cessé d'y publier des articles pour quatre raisons :

1. Il nous semblait avoir terminé un cycle : cinq années de coups de gueule, d'informations, de recherche, de collecte d'images. Cinq années de réflexion et de contact avec les saint-gillois et saint-gilloises pour une commune plus agréable à vivre.

2. Le blog ne permettait pas un archivage efficace des articles. Impossible de retrouver facilement tel ou tel sujet;

3. Une dispersion aussi dans les différents sujets. Nous allons recentrer nos articles sur cinq grands thèmes :

La mobilité
L'habitat et le logement
L'environnement, la santé et l'urbanisme
Le service public
L'actualité de Saint-Gilles

4. La mise en ligne de notre nouveau site demandait une stratégie éditoriale plus adaptée à nos besoins et à nos réalités.

Nous continuerons à publier des photos - dont toutes sont prises par notre équipe (sauf lorsque nous l'indiquons) et des documents.

Encouragés par de multiples appels à relancer un blog, nous vous proposons donc celui-ci. Nous espérons qu'il répondra à vos attentes.
Nous voilà donc sur les rails. Bienvenue à tous et ... n'hésitez pas à communiquer vos avis, suggestions, commentaires et remarques.