soit en les jetant dans les bulles à verre,
soit en les déposant dans une déchetterie - mais il n'y en a plus dans la commune.
Pour ce qui est des bulles à verre, on peut regretter le bruit du verre qui se brise et les incivilités consistant à jeter les bouteilles et autres bocaux ou flacons à côté des bulles.
Régulièrement revient à la surface l'idée de recourir à des bulles à verre enterrées.
Comment ça marche ?
Les seuls éléments visibles sont deux tuyaux noirs en plastique. L'un destiné à la récolte du verre blanc et l'autre du verre de couleur suivant les mentions inscrites sur ces tubes. A leur sommet, une étoile en caoutchouc empêche la pénétration de l'eau de pluie. Sous terre, ce sont deux cuves en acier galvanisé 3 m3.
La vidange s'effectue de la même manière que pour les bulles classiques. Grâce à un crochet, la bulle est soulevée avec sa dalle. A noter qu'un dispositif de sécurité a été prévu pour éviter qu'un passant ne tombe dans le trou laissé par la cuve lors de la vidange : la plate-forme sur laquelle la cuve est posée remonte en même temps qu'elle pour s'arrêter à fleur de sol. Elles sont vidangées au moins une fois par semaine et en tout cas chaque fois qu'elle est remplie aux 3/4 . A chaque vidange, l'opérateur effectue une pesée et le rythme de passage peut être modifié en conséquence.
Mais est-ce que c'est pour autant plus facile à gérer ?
A en voir l'exemple d'Anvers, ce n'est pas évident (voir ci-dessus la photo devant la gare).
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