Beaucoup d'entre nous ont été séduits par l'entreprise de "Villo". Un succès incontestable et ... gratuit jusqu'en décembre 2010. Il y a juste quelques problèmes :
1. L'état des vélos n'est pas toujours au top : chaînes déraillées, freins défectueux, selles déscellées, protections tordues, ...
2. Les stations du haut de la ville (Saint-Gilles est aussi dans ce cas) sont désservies le soir et saturées le matin ... A tel point que se rendre de Saint-Gilles vers le centre le soir est pratiquement impossible. Et que le contraire est le cas le matin.
3. La publicité est, hélàs, trop présente1. A tel point que cela indispose. Ceci explique d'ailleurs le point précédent qui semble confirmer l'idée que le seul but de Villo est de s'en foutre plein les poches - ce qui est son droit. Pour ce qui est de favoriser et d'encourager la mobilité douce ... il semble que l'on y est pas du tout.
4. Et on attend toujours la station de la place de Bethléem, le long de l'école ...
1. Une anecdote : l'une de mes amies a dû effacer, dans le cadre d'un job étudiant, en quelques soirées et nuits, lors du (re)lancement de l'opération en 2009, les autocollants d'une marque de service téléphonique portable [apposés sur l'arrière des vélos] qui n'avait pas respecté/honoré son contrat.
Au sujet de la publicité, qui est effectivement trop présente, je vous transmets un article reprenant l'intervention de la député écolo Céline Delforge au Parlement: http://www.celinedelforge.be/index.php/2010/07/01/132-une-pub-sexiste-deride-le-parlement-bruxellois-article-paru-dans-le-vif-l-express-du-19-mars-2010
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